Mardi 27 avril 2010, entre 16h et 17h dans le XXème arrondissement de Paris, rue des Envierges près du Parc de Belleville, deux comédiennes transsexuelles du film Mourir comme un homme en compagnie de Daniel Chabannes producteur du film, ont été agressés.
Parmi les insultes de teneur transphobes, les agresseurs ont affirmé que « les transsexuels étaient interdits dans le quartier ! ». Les agresseurs s’en sont pris au véhicule de Daniel Chabannes dans lequel les deux comédiennes ainsi que le producteur se sont réfugiés, ceci après leur avoir lancé pierres et bouteilles vides. Dans l’agression Daniel Chabannes s’est fait volé son portable.
Il y avait plusieurs témoins et personne n’a réagi.
Daniel Chabannes après avoir porté plainte, va saisir la Halde et va témoigner auprès de SOS Homophobie.
Nous sommes aujourd’hui devant le constat que même dans Paris, capitale du pays des Droits de l’Homme, des personnes, en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, sont agressées sous le regard passif des badauds.
Nous condamnons ces actes de violences, qu’ils soient transphobes, lesbophobes,
homophobes ou biphobes et interpellons le ministère de la justice et de le ministère de l’éducation nationale pour travailler sur le droit au respect des personnes quelque soit leur orientation sexuelle et leur identité de genre et que ces valeurs soient parties intégrantes de l’éducation nationale.
Parmi les insultes de teneur transphobes, les agresseurs ont affirmé que « les transsexuels étaient interdits dans le quartier ! ». Les agresseurs s’en sont pris au véhicule de Daniel Chabannes dans lequel les deux comédiennes ainsi que le producteur se sont réfugiés, ceci après leur avoir lancé pierres et bouteilles vides. Dans l’agression Daniel Chabannes s’est fait volé son portable.
Il y avait plusieurs témoins et personne n’a réagi.
Daniel Chabannes après avoir porté plainte, va saisir la Halde et va témoigner auprès de SOS Homophobie.
Nous sommes aujourd’hui devant le constat que même dans Paris, capitale du pays des Droits de l’Homme, des personnes, en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, sont agressées sous le regard passif des badauds.
Nous condamnons ces actes de violences, qu’ils soient transphobes, lesbophobes,
homophobes ou biphobes et interpellons le ministère de la justice et de le ministère de l’éducation nationale pour travailler sur le droit au respect des personnes quelque soit leur orientation sexuelle et leur identité de genre et que ces valeurs soient parties intégrantes de l’éducation nationale.